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Le bonheur n’est pas dans la recherche de la perfection, mais dans la tolérance de l’imperfection. Yacine Bellik


A vouloir trop bien faire, ne finit-on pas par se perdre ? A trop vouloir, à vouloir trop, on se stresse fatalement avec les « il faut que » ou les « je dois » et on oublie que celui qui prendra le dessus en définitive, sera le mental et non le cœur… Malheureusement, si on laisse le mental nous diriger vers cette quête utopique de la perfection, si on lui laisse le champ libre, il en profite pour juger, trancher, rabaisser et finalement par blesser. Voilà ce que l’on se fait lorsque l’on met sa conscience dans le mental au lieu du cœur.

A partir de là, les émotions entrent en action, le moral en prend un coup et il rendra coup pour coup… au physique, qui en subira les conséquences… fatigue, migraines, boule à l’estomac, tristesse ou autre maux.

Alors pourquoi ne pas se poser la question : Pourquoi suis-je dans cette quête de perfection ? Est-ce le regard des autres qui m’importe ? Il se peut que vous souffriez d’un sentiment d’infériorité ou d’indignité. Avez-vous besoin de paraître ? Là aussi, la question est pourquoi ? Si vous désirez paraître parfait, n’est-ce pas dû à un sentiment intérieur que vous ne l’êtes pas en réalité ? Autre possibilité, est-ce dû à mon éducation ? Et la question est presque la même… Qui vous disait que vous ne méritiez pas, que ce que vous faisiez n’était pas assez bien, que vous pouviez faire mieux… vos parents, vos enseignants ? 

Cherchez la raison et démontez le processus. Les erreurs sont salutaires. Elles sont là pour nous maintenir sur le chemin, pour nous enseigner la voie. Elles nous évitent de nous emballer, nous gardent dans l’humilité, nous renforcent et nous fortifient. Accepter ses failles, ses faiblesses et sa vulnérabilité, c’est être humble face à la vie, c’est développer des qualités de cœur et non d’égo. Mais c’est également accepter et comprendre que l’on est déjà Lumière parfaite, pur Esprit et donc, bien plus grand et majestueux que ce que le mental veut nous faire croire. L’acceptation de qui on est réduit la distance jusqu’à la découverte de notre « Je Suis » véritable et la découverte de notre « Je Suis » véritable ne passe que par le cœur.

Soyons doux et compatissant avec nous-mêmes et laissons notre cœur prendre le pouvoir.

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes : qu’il ne soit pas coupé, qu’il n’y ait aucune modification de contenu, que vous fassiez référence au site lumieredelame.ch et que vous mentionniez le nom de Valérie Thibaud. Merci.

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